Accords d’entreprise sur la GPEC : réalités et stratégies de mise en œuvre
- Le 26 novembre 2012
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En 2011, 71 600 salariés ou anciens salariés du secteur privé de 55 ans ou plus sont entrés dans un dispositif public leur permettant soit de ne plus rechercher activement un emploi, soit d’être en préretraite totale, soit de partir en retraite anticipée pour carrière longue.
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
88 252 accords et autres textes assimilés ont été établis ou signés dans les entreprises françaises en 2010 soit une baisse de 24,8 % par rapport à 2009.
En 2010, 14,3 % des entreprises de 10 salariés ou plus ont engagé des négociations collectives.
En 2011, 44,4 % des personnes âgées de 55 à 64 ans sont actives en France métropolitaine, 41,5 % sont en emploi et 2,9 % au chômage.
Au 30 septembre 2010, 2 350 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi n’étaient pas indemnisables par le régime d’assurance chômage (RAC).
Au 30 septembre 2010, 2 686 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi étaient indemnisables par l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), un effectif relativement stable par rapport à 2009. Parmi eux, 2 081 000 étaient effectivement indemnisés.
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).