Les conditions de travail des non-salariés en 2005
- 7 décembre 2009
- Dares Analyses N°50.1
En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
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En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
Moins souvent en emploi et davantage touchées par le chômage, les personnes résidant en zones urbaines sensibles (ZUS) sont souvent confrontées à d’importantes difficultés d’insertion sur le marché du travail.
Le fait d’avoir suivi une formation ou d’avoir été accompagné par une personne spécifique chez l’employeur augmente les chances d’accéder à l’emploi.
Afin de rendre compte de la discrimination à l’embauche à l’encontre des jeunes des banlieues d’Ile-de-France pour la profession de serveurs, un « testing » portant sur l’accès aux entretiens d’embauche a été réalisé entre octobre et décembre 2006 sur 119 offres d’emploi.
Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Au moins 78 511, soit 88 % des 88 878 travailleurs étrangers entrés en 1987 sur le marché du travail correspondent à des entrées sur le territoire. Si les entrées des travailleurs saisonniers sont de ce type, c'est plus rarement le cas pour les travailleurs permanents entrés en 1987.