Les conditions de travail des non-salariés en 2005
- 7 décembre 2009
- Dares Analyses N°50.1
En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
13 résultats
En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
Moins souvent en emploi et davantage touchées par le chômage, les personnes résidant en zones urbaines sensibles (ZUS) sont souvent confrontées à d’importantes difficultés d’insertion sur le marché du travail.
Après s’être beaucoup accrue au cours de l’année 2007, la rotation de la main-d’œuvre, hors recours à l’intérim, poursuit sa hausse au début de l’année 2008 avant de se replier progressivement à partir du deuxième trimestre.
Afin de rendre compte de la discrimination à l’embauche à l’encontre des jeunes des banlieues d’Ile-de-France pour la profession de serveurs, un « testing » portant sur l’accès aux entretiens d’embauche a été réalisé entre octobre et décembre 2006 sur 119 offres d’emploi.
En 2007, le taux de rotation de la main-d’œuvre dans les établissements de 10 salariés ou plus augmente très nettement par rapport à 2006 et dépasse son précédent sommet de 2000 pour s’établir à 46 %.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les demandes de licenciement visant les salariés protégés ne sont pas indépendantes de l’activité économique et des autres licenciements au sein des établissements de 50 salariés et plus.
Les flux de main-d'oeuvre fléchissent au début de l'année 2002, en raison d'un repli des entrées pour tous les secteurs, conduisant à un resserrement du solde des entrées et des sorties.
Les flux de main-d'œuvre se redressent à la fin de l'année 2001 avec davantage d'entrées, en raison d'une reprise dans la construction et le tertiaire.
Au troisième trimestre 2001, la mobilité des salariés reste élevée, bien qu'en légère diminution sur un an.