Le contrat de professionnalisation en 2012
- 5 décembre 2013
- Dares Analyses N°075
156 000 nouvelles embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2012, soit une baisse de 10 % en un an après une hausse de 13 % entre 2010 et 2011.
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156 000 nouvelles embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2012, soit une baisse de 10 % en un an après une hausse de 13 % entre 2010 et 2011.
Au 2e trimestre 2013, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Au 1er trimestre 2013, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 13,0 %, soit 0,6 point de plus qu’au 1er trimestre de l’année précédente.
Au 4e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,8 %, soit 0,3 point de plus qu’au 4e trimestre de l’année précédente.
L’enquête visait à explorer les liens entre les problèmes de santé et les parcours professionnels et conditions de travail.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
Au 3e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Les expositions aux risques professionnels varient fortement d’un secteur d’activité à l’autre, selon le risque considéré, du fait notamment des métiers et contraintes spécifiques à chacun de ces secteurs.