Les organismes de services à la personne en 2021
- 30 avril 2024
- Dares Résultats N° 28
En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
10 résultats
En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
En 2020, un organisme de services à la personne sur trois déclare avoir cessé totalement son activité au cours du premier confinement.
Consultez toutes les données de suivi des dispositifs consacrés à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
Un million de salariés travaillent en France dans le secteur des services à la personne en moyenne chaque semaine. Ils représentent 4 % de l’ensemble des salariés et jusqu’à 6 % dans certains départements du Sud-Ouest.
Selon l’enquête Trajectoires et Origines (TeO) menée en 2008, les jeunes âgés de 18 à 29 ans immigrés ou descendants d’immigrés rencontrent à la fin de leurs études plus de difficultés d’insertion professionnelle que les autres jeunes.
En 2011, 13 % des ménages recourent aux services à la personne. Les personnes âgées ainsi que les ménages aisés sont les principaux utilisateurs de ces services. Ils y recourent principalement pour de l’aide ménagère.
En 2012, l’activité globale déclarée dans le secteur des services à la personne se tasse à nouveau (-1,1 %) après un premier recul en 2011 (-1,3 %). Cette baisse résulte du repli du volume d’heures rémunérées par des particuliers employeurs (-2,5 %).
En 2012, 3,9 millions de personnes âgées de 15 à 64 ans résidant en France métropolitaine sont nées en France d’au moins un parent immigré, soit 9,8 % de la population en âge de travailler.
Entre 2005 et 2010, le risque d’accident du travail a diminué dans les secteurs concurrentiels, en partie du fait du ralentissement de l’activité économique.