Risques du travail : post-enquêtes SUMER 2009
- Le 12 décembre 2012
13 résultats
En 2011, 71 600 salariés ou anciens salariés du secteur privé de 55 ans ou plus sont entrés dans un dispositif public leur permettant soit de ne plus rechercher activement un emploi, soit d’être en préretraite totale, soit de partir en retraite anticipée pour carrière longue.
L’enquête « Santé et itinéraire professionnel » (SIP) a pour objet les interactions entre le travail, l’emploi et la construction ou l’altération de la santé, en prenant en compte les décalages temporels.
En 2011, 44,4 % des personnes âgées de 55 à 64 ans sont actives en France métropolitaine, 41,5 % sont en emploi et 2,9 % au chômage.
De 1994 à 2003, dans le secteur privé, l'intensité du travail a augmenté tout comme les marges de manœuvre, tandis que les expositions aux contraintes physiques dans le travail ont reculé.
Dans un environnement de travail en transformation, les salariés de la construction subissent de nombreuses contraintes physiques : manutention manuelle des charges, contraintes posturales et articulaires.
Au cours de l’année 1998, 78 800 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et, au 31 décembre, l’UNEDIC dénombrait 220 000 allocataires indemnisés au titre de l’ASFNE, de la préretraite progressive ou de l’Allocation de Remplacement Pour l’Emploi (ARPE).
L'enquête sur les conditions de travail de 1998 (encadré méthodologique) témoigne d'une extension des contraintes de rythme de travail par rapport à celles de 1984 et de 1991.