Six figures de l'emploi à temps partiel
- 19 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.4
Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
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Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %.
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
Depuis le 1er mai, le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 718 738 jeunes au total, dont 132 426 au cours du mois de novembre 1986. Le flux d'embauche du mois de novembre est chaque année en retrait de 25 % par rapport au mois d'octobre
Le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 189 119 jeunes au cours du mois d'octobre, ce qui porte le total depuis le 1er mai à 586 312. Fin octobre, 174 189 stagiaires TUC ont été rémunérés.
En septembre, 168 430 jeunes ont été embauchés ou accueillis en entreprise grâce au plan pour l'emploi des jeunes. Depuis le 1er mai, ils sont donc 397 193.
En 1985, elle atteint 171,5 milliards de francs, soit une augmentation de 13,1 % en francs courants et de 6,9 % en francs constants par rapport à 1984. Sur ces trois dernières années, la Dépense pour l'emploi représente une masse équivalente à un peu plus de 3,5 % du PIB.