La mobilité sociale des descendants d’immigrés
- 5 octobre 2015
- Dares Analyses N°072
Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
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Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
D’un montant de 29,8 milliards d’euros en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3 % par rapport à 2007.
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel et des hôpitaux publics, 96 % des salariés sont de nationalité française.
En 1986, les flux d'immigration active et d'immigration familiale ont été maintenus à un niveau très réduit. Les entrées d'actifs permanents et temporaires étrangers se stabilisent à un niveau bas, autour de 11 000 personnes.
En décembre 1985, 788 000 salariés étrangers étaient employés dans les établissement de 10 salariés et plus du champ de l'enquête. Ils ne représentent plus que 8,3 % des salariés en 1985 contre 9,2 % en 1982, 10,2 % en 1979 et 10,5 % en 1976.