Les sortants de l’Insertion par l’activité économique
- 1 décembre 2022
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
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L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
40 % des personnes sorties d’une structure d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2020 y ont suivi au moins une formation et 54 % ont bénéficié d’un accompagnement.
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Les structures du secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) sont spécialisées dans l’accueil des personnes en difficulté auxquelles elles proposent un emploi associé à un accompagnement social et professionnel personnalisé.
Les entreprises d’insertion (EI) et les entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI), comme les autres structures du secteur de l’insertion par l’activité économique, ont une mission d’insertion de personnes en difficulté et une nécessité de viabilité économique.
Les trois quarts des responsables de structures de l’insertion par l’activité économique estiment pouvoir choisir la personne qu’ils recrutent.
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les salariés des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et des entreprises d’insertion (EI), plus éloignés de l’emploi, sont plus souvent accompagnés que ceux des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI).