Les contrats d'aide à l'emploi du plan de cohésion sociale en 2006
- 5 octobre 2007
- Dares Résultats N°41.2
Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
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Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Les salariés en contrat court, c’est-à-dire en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, sont préoccupés par la précarité de leur emploi, et notamment par le risque de se retrouver au chômage.
À partir du 29 juillet 1998, le contrat emploi consolidé (CEC) a été ouvert aux personnes en difficulté d’insertion qui ne sont pas passées préalablement par un contrat emploi-solidarité (CES).
Entre juillet 2002 et décembre 2005, 269 500 jeunes ont été embauchés dans le cadre du dispositif « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprise » ou « Contrat jeune en entreprise ».
Au regard de leur forte présence, en légère mais constante progression depuis 1997, parmi les demandeurs d'emploi, les femmes sont sous-représentées à l'entrée dans l'ensemble des dispositifs ciblés de la politique de l'emploi.
En mars 2000, plus d’un an après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), 56 % des bénéficiaires déclarent occuper un emploi et 26 % être au chômage.
Selon un exercice de prospective réalisé par la Dares, plus de 3 millions d'emplois pourraient être créés d'ici 2010, soit une augmentation de +12 % par rapport à 2000.
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).