Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
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Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Les missions locales et les Permanences d’Accueil, d’information et d’orientation (PAIO) ont été créées dans les années quatre-vingt pour lutter contre le chômage des jeunes et faciliter leur insertion sociale et professionnelle.
Accompagner les demandeurs d’emploi demeure l’axe prioritaire du contrat de progrès signé entre l’État et l’Anpe. Objectif : les prémunir contre le chômage de longue durée et les conduire à l’emploi.
Depuis juillet 2001, le projet d’action personnalisé a considérablement renforcé l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
Le deuxième contrat de progrès signé entre l’État et l’Afpa couvre les années 1999-2003, période où la conjoncture s’est retournée et où le paysage institutionnel s’est profondément transformé.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2003, près de 45 000 chômeurs ont mobilisé l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE) pour créer leur propre entreprise.
Les demandeurs d’emploi sont de moins en moins nombreux à suivre des stages de formation financés par l’État.
43 000 personnes ont été admises en 1987 à un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée - soit inscrits à l'ANPE depuis au moins un an, soit en situation de chômage répétitif.
En termes de créations d'associations intermédiaires, les mois d'octobre et de novembre sont les plus actifs en 1987.