Évaluation du suivi mensuel personnalisé mis en place par l'ANPE en 2006
- 18 décembre 2012
- Document d'études N°175
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
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Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
Au 30 septembre 2010, 2 350 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi n’étaient pas indemnisables par le régime d’assurance chômage (RAC).
Au 30 septembre 2010, 2 686 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi étaient indemnisables par l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), un effectif relativement stable par rapport à 2009. Parmi eux, 2 081 000 étaient effectivement indemnisés.
Le RSA est entré en vigueur le 1er juin 2009. Fin 2010, 2,2 millions de personnes vivaient dans un foyer bénéficiaire du RSA (personne allocataire ou conjoint) : 1,6 million au titre du RSA socle et 0,6 million au titre de RSA activité seul, nouvelle composante de la prestation.
En se centrant sur les foyers de travailleurs éligibles au RSA activité seul ou non-éligibles en mai 2009, cette étude cherche à mesurer l’impact du RSA sur la probabilité de rester en emploi fin 2010 et sur la variation du nombre d’heures travaillées.
8 mois après leur entrée dans le dispositif, les demandeurs d’emploi pris en charge en novembre 2009 ou mars 2010 occupent plus fréquemment un emploi lorsqu’ils ont été accompagnés par Pôle emploi (43 % contre 38 % pour les OPP) et plus fréquemment un emploi durable (28 % contre 23 %).
Selon l'Unedic, 2 220 755 demandeurs d'emploi ont été indemnisés en moyenne par mois en 1992 soit 64 % des demandeurs d'emploi de catégorie 1, 2 et 3 inscrits à l'ANPE ou dispensés de recherche d'emploi.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.
Fin décembre 1992, le nombre d'Associations Intermédiaires (A.I.) a dépassé le chiffre de 960. Globalement, l'activité de ces associations, tournée vers la réinsertion professionnelle de publics en grande difficulté, progresse de 28 % en un an.
En 1992, l'intensification de l'effort public de lutte contre le chômage de longue durée favorise le développement des " Actions d'insertion et de Formation " (AIF). Le nombre des entrées en stage progresse d'un tiers, 267 000 et 200 000 l'année précédente.