Organismes de service à la personne : résultats de l’enquête flash Covid-19
- 23 novembre 2020
- Covid-19
Quatre organismes sur cinq étaient en arrêt ou connaissaient une baisse d'activité pendant le premier confinement.
9 résultats
Quatre organismes sur cinq étaient en arrêt ou connaissaient une baisse d'activité pendant le premier confinement.
Le vendredi 1er mai, Aurore Desjonquères, chargée d’études à la Dares, intervenait sur France Inter dans l’émission "Grand bien vous fasse !" présentée par Ali Rebeihi.
En 2018, l’activité dans les services à la personne diminue légèrement (-0,4 % d’heures rémunérées par rapport à 2017).
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Avec 891 millions d’heures rémunérées au domicile de particuliers, l’activité du secteur des services à la personne est restée globalement stable en 2010 (+0,3 % par rapport à 2009).
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
En 1986, les flux d'immigration active et d'immigration familiale ont été maintenus à un niveau très réduit. Les entrées d'actifs permanents et temporaires étrangers se stabilisent à un niveau bas, autour de 11 000 personnes.
En décembre 1985, 788 000 salariés étrangers étaient employés dans les établissement de 10 salariés et plus du champ de l'enquête. Ils ne représentent plus que 8,3 % des salariés en 1985 contre 9,2 % en 1982, 10,2 % en 1979 et 10,5 % en 1976.