Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
8 résultats
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
La dimension territoriale est tout aussi importante que la dimension du métier pour caractériser l’écart entre l’offre et la demande d’emploi.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
Au cours de ce trimestre, on a enregistré près de 830 000 mouvements (respectivement 450 000 entrées et 370 000 sorties) correspondant à un gain d'environ 80 000 emplois en données brutes (+ 1,3 %).
Au cours du premier trimestre 1989, ont été enregistrés 690 000 mouvements de main-d'oeuvre dans les établissements de 50 salariés et plus, dont 420 000 entrées et 370 000 sorties, ce qui correspond à un gain de 50 000 emplois en données brutes (+ 0,8 %).
En données corrigées des variations saisonnières, l'évolution des effectifs des établissements de 50 salariés et plus concernés par la déclaration mensuelle sur les mouvements de main-d'oeuvre est de + 0.4% au cours du quatrième trimestre 1988.
Les établissements de 50 salariés et plus, concernés par la déclaration mensuelle sur les mouvements de main-d'œuvre employaient environ 6 100 000 salariés au début du troisième trimestre 1988.