Évaluation du suivi mensuel personnalisé mis en place par l'ANPE en 2006
- 18 décembre 2012
- Document d'études N°175
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
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Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
Au 2e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,3 %, soit 0,1 point de plus qu’au 2e trimestre de l’année précédente.
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
Au 1er trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,5 %, au même niveau que le 1er trimestre de l’année précédente.
Au quatrième trimestre 2011, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, reste stable dans les établissements de 10 salariés ou plus, à 12,8 %.
Le RSA est entré en vigueur le 1er juin 2009. Fin 2010, 2,2 millions de personnes vivaient dans un foyer bénéficiaire du RSA (personne allocataire ou conjoint) : 1,6 million au titre du RSA socle et 0,6 million au titre de RSA activité seul, nouvelle composante de la prestation.
En se centrant sur les foyers de travailleurs éligibles au RSA activité seul ou non-éligibles en mai 2009, cette étude cherche à mesurer l’impact du RSA sur la probabilité de rester en emploi fin 2010 et sur la variation du nombre d’heures travaillées.
8 mois après leur entrée dans le dispositif, les demandeurs d’emploi pris en charge en novembre 2009 ou mars 2010 occupent plus fréquemment un emploi lorsqu’ils ont été accompagnés par Pôle emploi (43 % contre 38 % pour les OPP) et plus fréquemment un emploi durable (28 % contre 23 %).
Au cours du premier trimestre 1993, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus baisse de 0,4 point et atteint 6,0 % (en données corrigées des variations saisonnières) : la baisse des recrutements s'est accélérée sur les six derniers mois.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.