L’insertion par l’activité économique en 2016
- 15 novembre 2017
- Dares Résultats N°074
Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
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Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
Cet article décrit la manière dont les bénéficiaires d’un dispositif particulier de politique de l’emploi, l’insertion par l’activité économique (IAE), sont accompagnés et formés durant leur parcours et leur ressenti objectif et subjectif sur ce parcours.
Comment des entreprises sociales particulières, les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), remplissent-elles leur mission d’accompagnement et de réinsertion de publics en difficulté tout en réalisant une activité de production au sein d’un environnement économique plus ou moins concurrentiel ?
Après une nette remontée au second semestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre augmente légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés au premier semestre 2007.
En 2006, 80 700 chômeurs ou allocataires de minima sociaux ont créé ou repris 76 500 entreprises en bénéficiant de l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE).
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
En 2006, la progression de l’emploi salarié dans les établissements de dix salariés et plus s’accompagne d’une hausse du taux de rotation.
L’Aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprises (Accre), dispositif quasi trentenaire de la politique d’emploi, s’adresse, en 2004 à plusieurs publics :
Les demandeurs d’emploi et les allocataires de minima sociaux qui souhaitent créer une entreprise peuvent, sous certaines conditions, bénéficier de l’Aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprises (Accre).
18 % des créateurs bénéficiaires de l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (Accre) au deuxième trimestre 2004 n’étaient plus à la tête de leur entreprise, deux ans et demi après la création.