La dépense pour l'emploi en 1999
- 1 août 2002
- Dares Résultats N°31.1
En 1999, la dépense pour l'emploi est estimée à 51 milliards d'euros (336 milliards de francs),soit une hausse de 3,5 % en volume, plus prononcée que celle de l'année précédente.
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En 1999, la dépense pour l'emploi est estimée à 51 milliards d'euros (336 milliards de francs),soit une hausse de 3,5 % en volume, plus prononcée que celle de l'année précédente.
La croissance économique est à nouveau positive au premier trimestre 2002 et le secteur concurrentiel non agricole crée 37 000 emplois.
À partir de 1999, la territorialisation s'élargit et devient une démarche stratégique des politiques de l'emploi.
L'allocation de Solidarité Spécifique (ASS), destinée aux chômeurs en fin de droits, est versée à environ 400 000 personnes.
Malgré le repli de l’emploi industriel, et alors même que le PIB du secteur concurrentiel diminuait, le dynamisme du secteur tertiaire et, dans une moindre mesure, celui de la construction, ont conduit à la création de 50 000 nouveaux emplois au quatrième trimestre 2001.
En 2000, dans un contexte de fort recul du chômage, la politique spécifique de l'emploi s'est traduite par une baisse des entrées dans les dispositifs et du nombre de leurs bénéficiaires.
Invités à s'exprimer après leur passage en contrat emploi solidarité, en stage d'insertion et de formation à l'emploi ou en contrat initiative emploi, les bénéficiaires émettent des opinions contrastées sur leur expérience.
Entre mars 1997 et mars 2001, la part des chômeurs parmi les jeunes de 15 à 29 ans s'est fortement réduite, de un sur dix à un sur quatorze.
Au 30 septembre 2001, 73 000 jeunes avaient quitté le programme « Nouveaux services - emplois jeunes » dans le champ des associations, collectivités territoriales et établissements publics.
Les entreprises utilisatrices des mesures d'aide à l'emploi sont, pour la plupart d'entre elles, de très petites entreprises. Le choix du dispositif utilisé dépend étroitement du secteur d'activité.