La convention de conversion : une aide efficace pour la réinsertion ?
- 29 juillet 2000
- Dares Analyses N°30.1
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
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Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
Les entrées et les sorties de personnel, dans les établissements de 10 salariés ou plus, sont des mouvements très saisonniers sur l’année.
L'emploi salarié a augmenté de 0,1 % en mai 2000.
En 1999, près de 89 000 jeunes ont été recrutés dans le cadre du dispositif « nouveaux services - emplois jeunes », ce qui porte à plus de 205 000 le nombre de jeunes embauchés depuis le lancement du programme.
Entre 1997 et 1998, le nombre de travailleurs handicapés dans les établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés est resté stable.
On compte 2 838 300 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie 1 à la fin du mois de mai 1999.
Au premier trimestre, les créations d’emplois (+ 151 000) ont été plus vigoureuses qu’au trimestre précédent.
En juillet 1999, 12,8 % des salariés ont bénéficié de la revalorisation du SMIC horaire.
En 2000, afin de mieux comprendre les enjeux microéconomiques et gestionnaires de l’aménagement-réduction du temps de travail (ARTT), deux équipes de consultants et chercheurs en gestion ont enquêté pour la DARES dans dix-huit entreprises qui l’avaient appliqué dans le cadre de la loi Robien.
L’année 1999 s’est conclue par des créations d’emplois et une réduction du chômage de grande ampleur : + 420 000 emplois et - 350 000 demandeurs d’emplois en fin de mois de catégorie 1 (DEFM) entre fin 1998 et fin 1999.